Lorsque nos aînés sortent d’une hospitalisation en raison du Covid 19 et malgré une rééducation, la plupart d’entre eux continuent d’avoir besoin d’une aide partielle pour des tâches de la vie quotidienne. Même s’ils arrivent à s’en sortir grâce à l’aide de leur conjoint ou d’un proche, d’ici à quelques mois/années, ils auront besoin de plus en plus d’aide et de plus en plus régulièrement.
Quand le patrimoine ou/et l’aide de l’entourage ne suffisent plus/pas, comment est-ce qu’ils pourront faire face à ce surcoût ? De quelles aides pourront-ils bénéficier ? Comment peuvent-ils se préparer à cette situation ? C’est en temps normal déjà l’enjeu de l’assurance dépendance …
Des situations poignantes
Il y a quelques semaines, Paris Match publiait dans un article la situation de personnes ayant été atteintes d’une forme grave du Covid et qui sont ressorties avec des séquelles importantes. En voici quelques extraits :
« Tous n’ont pas des séquelles identiques, mais tous se sont réveillés dépendants. « J’étais un paquet », avoue Margot C. Incontinents, épuisés, incapables de faire quoi que ce soit par eux-mêmes, jusqu’à leur voix, modifiée par la maladie ou les traitements, qu’ils ne reconnaissent pas. « Ils arrivent grabataires », explique le chef du pôle de pneumologie, Christian D. ».
« Tous, avant « la petite bête », étaient pourtant en forme. En avril, Jean-Claude M., 70 ans, […], était encore, malgré son surpoids, un grand gaillard jovial et chaleureux. Après trois mois en réanimation, des complications tous azimuts et, pour finir, des accidents vasculaires cérébraux […]. Quatre mois plus tard, il parle, mais chaque mot lui coûte. Alors il les aligne comme s’il les comptait, les uns après les autres, à voix basse pour ne pas s’épuiser. Mi-novembre, aidé par deux kinésithérapeutes et sanglé sur un appareil ressemblant à un lit qu’on redresse, il a été mis debout. La « verticalisation » est la première étape avant la marche. ».
« Pour en arriver là, ce sont des mois de travail et un temps infini du lit au fauteuil, quelques minutes, d’abord, en position assise, puis un peu plus, et encore un peu plus, jusqu’à tenir une demi-heure. L’équipe soignante consigne la moindre amélioration, le plus petit progrès, mais tous savent que le Jean-Claude d’avant le Covid n’existe définitivement plus. Un jour peut-être, après de longs mois de labeur, arrivera t-il à s’alimenter sans aide, peut-être même à faire quelques pas, soutenu par un déambulateur. ».
Pour accéder à l’article complet : https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Les-grands-invalides-du-Covid-1715663
L’assurance dépendance face à cette situation
Le Covid 19 est un révélateur du déficit de la prise en charge financière de la dépendance par la solidarité nationale. Malgré le projet plusieurs fois repoussé du rajout d’une 5e branche à la sécurité sociale, l’APA en reste à l’heure actuelle la contribution principale. Ni l’APA ni cette 5e branche pourront prendre en charge à elles seules tout le coût engendré par la perte d’autonomie. Le nombre de personnes dépendantes est déjà en continuelle augmentation, étant donné le vieillissement de la population.
C’est pourquoi il reste très intéressant de rechercher des solutions alternatives auprès de l’assurance dépendance privée. L’augmentation de l’engagement personnel solidaire nécessite l’amélioration des conditions de prise en charge par les familles. Les assureurs développent en ce moment des offres de service à l’intention des aidants.
Ces offres de services ne pourront pas non plus à elles-seules palier au surcoût engendré par la dépendance. L’APA laisse un reste à charge conséquent selon les ressources du bénéficiaire. Les rentes forfaitaires proposées par les assureurs peuvent compenser ces restes à charge. Cela concerne surtout les classes moyennes. Elles bénéficient certes d’aides mais de manière limitée. Leurs revenus et leur patrimoine restent insuffisants. Il n’est pas non plus toujours possible qu’un proche puisse devenir aidant bénévole …
Pour en savoir plus :
- https://www.argusdelassurance.com/juriscope/analyses-d-experts/le-covid-19-un-revelateur-des-enjeux-de-la-dependance.171319
- http://www.senat.fr/rap/r18-428/r18-42810.html
L’assurance Dépendance de Prévoyance Fer
Prévoyance Fer propose aux cheminots et à leurs proches une assurance Dépendance permettant de s’assurer une rente. Elle est mensuelle, non imposable et cumulable avec l’APA. La prise en charge commence dès que l’assuré est reconnu en dépendance partielle de type GIR 3. Elle est versée que ce dernier réside à son domicile ou au sein d’un établissement médicalisé.
Il n’y a pas de contraintes quant à l’utilisation de la rente. Elle peut aussi bien aider à régler la facture d’un établissement médicalisé, qu’à embaucher une aide à domicile ou à indemniser un proche aidant…
C’est une offre simple, complémentaire aux mesures prises par la CPRPSNCF, la Sécurité Sociale et par votre Département. Elle ne comporte pas de garantie en prestation pouvant être déjà inclue dans une autre garantie. Cela permet de vous assurer des cotisations attractives et supportables financièrement.
Vous êtes un membre actif ou retraité de la SNCF ? Votre conjoint est cheminot ? N’attendez pas d’être atteint d’une forme grave du Covid ou d’avoir un problème de santé plus conséquent pour vous renseigner. Plus tôt vous serez couverts, plus les cotisations seront attractives.
Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos questions et vous fournir toutes les informations dont vous avez besoin. N’attendez plus :
- Je me renseigne : https://prevoyancefer.fr/garantie-dependance/
- Je contacte Prévoyance Fer : https://prevoyancefer.fr/contact/
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